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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 07:52

Bonjour je viens de créer un forum où vous pouvez dialoguer sur le sujet de jardinage inscrivez vous.

http://jardinage.les-forums.com

bonne utilisation

Francis

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 19:16

Bonsoir à toutes et tous, le lien ci-dessous va vous permettre de connaître vos actions sur vos parcelles, ce lien sera permanent c'est à dire qu'il sera mis à jour tous les jours au goût du jour !

Personnellement j'y rencontre des conseils astucieux que je vous diffuse, mais pourquoi ne pas faire court?

Cliquez sur conseil.

 

Tous les conseils de jardinage du moment sont sur www.gerbeaud.com

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 20:23

Prochainement Francis organisera un atelier pour la réalisation et l'utilisation d'un lombricomposteur : modèle d'appartement et modèle jardin.

Laissez un commentaire si vous voulez vous y inscrire

 

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 11:23

Une étude régionale (Poitou-Charentes) montre que les décès dus à Parkinson et aux lymphomes sont plus importants dans les zones de vignoble

 La culture dominante sur une commune est considérée comme un « indicateur indirect d'exposition aux pesticides ». Archives T. K.
La culture dominante sur une commune est considérée comme un « indicateur indirect d'exposition aux pesticides 

Les auteurs ont confronté des données existantes sur la région Poitou-Charentes jamais croisées jusque-là. Le résultat de l'étude « Pesticides et santé », qui se penche sur le lien entre territoires et mortalité, est frappant sur un point : il montre une surmortalité pour la maladie de Parkinson (+ 29 %) et pour les cancers du système lymphatique (+ 19 %) dans les communes de la région où la culture principale est la vigne. Une surmortalité constatée par rapport à la mortalité régionale.

Ces deux maladies font partie des pathologies étudiées par les chercheurs du monde entier parce qu'elles sont susceptibles d'être liées à une exposition à des pesticides.


Les deux Charentes

Dans son préambule, l'« étude écologique du lien entre territoires et mortalité en Poitou-Charentes entre 2003 et 2007 » (son sous-titre), publiée en juin par l'Observatoire régional de la santé (1), rappelle que nous sommes une région très agricole. De 1990 à 2008, les grandes cultures (maïs, blé, etc.) représentaient 75 % des terres agricoles, la vigne 5 %. « Or grandes cultures et vignes sont parmi les plus utilisatrices de pesticides. »

La vigne plus particulièrement. L'étude rappelle qu'en 2005, « les deux départements du sud de la région ont consommé à eux seuls 70 % » des 2 600 tonnes de pesticides vendues au secteur agricole cette année-là dans la région, « notamment du fait des produits utilisés pour le vignoble du Cognaçais. »

Comité de pilotage

Quelles relations entre les pesticides utilisés en agriculture et la santé de toute la population peut-on éventuellement noter ? L'Observatoire régional de la santé, sollicité par la Région, a tenté de répondre à cette question. Un comité de pilotage a été monté. Pour des raisons de méthodologie, de pertinence scientifique, l'étude s'est concentrée sur la mortalité et non le nombre de malades.

Selon les termes employés par les auteurs, l'objectif de l'étude était donc de « déterminer, pour la région Poitou-Charentes, le lien éventuel entre la distribution de cultures et la mortalité par certaines pathologies susceptibles d'être liées à une exposition à des pesticides ». L'expression « susceptibles de » est employée car l'état actuel de la recherche ne permet pas de « prouver » le lien direct entre les pesticides et certaines maladies.

De son côté, le terme « étude écologique » ne doit pas induire en erreur. Il s'agit bien d'une étude scientifique. Une grande partie des 200 pages est d'ailleurs consacrée à la méthodologie appliquée et à ses limites. Comment les auteurs ont-ils procédé ? Ils avaient à leur disposition plusieurs bases de données : la mortalité détaillée en Poitou-Charentes ; la base de données européennes d'occupation biophysique des sols qui permet de savoir quelle est la culture dominante dans chaque commune (2) ; le bilan détaillé des ventes de pesticides en 2005 en Poitou-Charentes ; l'ensemble des études « médicales » publiées dans le monde entier sur les liens entre pesticides et diverses maladies, et des synthèses de ces divers résultats, dites « méta-analyses ».

En fonction de la culture dominante sur une commune, considérée comme un « indicateur indirect d'exposition globale de la population générale aux pesticides », les auteurs ont composé quatre groupes : « vignes », « grandes cultures », « prairie » et « autres ».

Parmi les maladies soupçonnées d'avoir un lien avec l'exposition aux pesticides, ils en ont sélectionné sept : maladie de Parkinson, cancer du système nerveux central, cancer de la prostate, leucémie, myélome, lymphome et hémopathies malignes.

Suivant leur méthodologie, ils ont confronté le tout, pour la période 2003-2007, en prenant en compte les décès des habitants de plus de quinze ans.

Pour deux maladies seulement, les indices comparés de mortalité présentent des écarts significatifs avec la norme régionale. Et seul le territoire « vigne » est concerné par la surmortalité.

1) L'Observatoire est une structure associative qui réalise en toute indépendance des études en santé publique. L'étude « Pesticides et santé », signée Catherine Chubilleau, Mélanie Pubert, Julien Comte et Julien Giraud est disponible sur www.ors-poitou-charentes.org 2) À partir d'images satellites d'une précision de 25 m.

Par Natacha thuillier
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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 00:04

 

Energie / Climat | le 14 septembre 2011

Le terrible record de la fonte des glaces en Arctique

Les craintes de Greenpeace et de nombreux scientifiques se sont révélées justifiées. L’année 2011 va battre le triste record du niveau minimum de la banquise en Arctique. Avec 4,24 millions de kilomètres carrés, l’étendue des glaces est inférieure d’environ 0,5 % à celle du précédent record enregistré en septembre 2007 et atteint son plus bas niveau depuis le début des observations satellite en 1972. C’est le résultat des études menées par les scientifiques de l’Institut de physique environnementale de l’université de Brême (Allemagne),
Par ailleurs, en ce moment même, Greenpeace mène une expédition scientifique dans la région, composée de scientifiques indépendants du département d’océanologie de l’Université de Cambridge (Nick Toberg et Till Wagner), qui mènent des recherches sur l’épaisseur et le volume de la glace de mer arctique. Ces deux données sont, au-delà de la mesure de l’étendue de la glace, indispensables pour mesurer le recul de la banquise.

Credit: Greenpeace / Nick Cobbing

 

La banquise pourrait disparaître en été avant 2050

Les températures dans la région arctique auraient augmenté deux fois plus vite que les températures moyennes au cours des cinquante dernières années. L’étendue et l’épaisseur des glaces arctiques se sont également significativement réduites au cours des récentes décennies. D’après les scientifiques, la fonte des glaces durant l’été est un excellent indicateur du réchauffement climatique mais c’est aussi une véritable clé du phénomène. Le recul de la banquise ne peut plus être expliqué par la variabilité naturelle d’une année sur l’autre. Les modèles climatiques montrent plutôt que ce recul est lié au réchauffement climatique, particulièrement prononcé en Arctique du fait du phénomène « albédo », la fraction de l’énergie solaire réfléchie vers l’espace.

Par ailleurs, les scientifiques du NSIDC (centre américain spécialisé dans l’observation de la neige et de la glace) ont noté la disparition quasi complète des glaces dans les chenaux du Passage du Nord-Ouest. La route du sud serait donc également libre de glace.

Une autre preuve flagrante des effets dramatiques des changements climatiques dans l’Arctique est sortie la semaine dernière. Alan Hubbard, glaciologue gallois de l’université d’Aberystwyth et spécialiste du glacier Petermann (dans le nord du Groenland) a ainsi constaté que  le morceau du glacier qui s’était détaché en août dernier, plus de 260 km2 de glace, avait aujourd’hui totalement fondu et disparu.

L’atmosphère au dessus du Grand Nord se réchauffe donc plus vite qu’ailleurs et si la tendance se poursuit la banquise pourrait complètement disparaître en période estivale d’ici 30 ans, soit quarante ans plus tôt que ce qu’a estimé le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
La dernière fois que l’Arctique était totalement libérée de la glace en plein été date de 125 000 ans, au cœur de la dernière grande période interglaciaire.

La fonte de la banquise arctique est l’un des impacts les plus visibles des changements climatiques, avec des conséquences importantes non seulement pour les populations autochtones, la faune et la flore de cette région, mais également pour l’ensemble de la planète.
Quelle amère ironie de constater que la combustion de pétrole joue un rôle majeur dans la fonte de la banquise, et que cette même fonte est perçue par beaucoup comme une opportunité supplémentaire de créer des marchés pour les entreprises pétrolières… La boucle est bouclée.

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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 00:01

 

Energie / Climat | le 9 septembre 2011

Fukushima, 6 mois après : un quotidien irradié

Vivre, chaque jour : avoir un toit, à manger, aller au bureau, à l’école, se promener … ces choses tellement banales vues d’ici, et qui sont pourtant tellement compliquées à Fukushima, 6 mois après …

 

La vie la bas

80 000 personnes vivaient dans la zone de 20 km autour de la centrale de Fukushima Daiichi, zone évacuée et aujourd’hui morte. Cette semaine, environ 200 riverains ont été autorisés à faire une brève visite à leur ancien domicile pour récupérer le maximum d’effets personnels possible. Ce retour à la maison, fut, pour beaucoup, le dernier. Vêtus de combinaisons de protection, de masques et lunettes, il leur a été donné deux heures seulement pour évaluer les dégâts dans leurs habitations et collecter leurs affaires, leurs souvenirs.
Ils sont ressortis de leurs maisons en portant des sacs en plastique gonflés de vêtements, objets de valeur, jouets pour enfants et albums photo.

6 mois de fuites radioactives ont rendu les villes voisines d’Okuma et de Futaba inhabitables pendant des années, voire des décennies.

Toutes les traces de la vie ordinaire semblent suspendues : les routes sont envahies par les mauvaises herbes; commerces et restaurants sont fermés… pas âme qui vive en dehors du chant des cigales.
Selon un récent rapport du gouvernement, la dose d’irradiation annuelle cumulée dans un district d’Okuma est estimé à 508,1 millisieverts, c’est à dire plus de 500 fois le niveau acceptable par an.

Voir le reportage du Guardian

Les ouvriers de la centrale : des inconnus dont on ne parle plus

A l’heure actuelle, 2500 à 3000 ouvriers sont sur site. Un grand nombre d’entre eux sont en train de nettoyer les débris radioactifs qui ont été projetés par les explosions. D’autres sont en train d’installer et de faire fonctionner des systèmes pour décontaminer l’eau radioactive.

Le journaliste japonais Kazuma Obara a souhaité visiter l’intérieur de la centrale de Fukushima Daiichi afin d’y rencontrer ceux qui y vivent tous les jours, qu’il considère comme des héros. Bravant sa propre peur de la radioactivité, il a réussi à s’introduire dans le site nucléaire. Cela n’a été possible que grâce à l’aide d’un contact qui y travaille et qui veut que le monde sache dans quelles conditions lui et les autres ouvriers travaillent. Il relate le quotidien, les heures longues, l’isolement … Kazuma Obara a recherché vainement au Japon un journal qui accepte de publier ses photos. Il s’est donc tourné vers l’Europe et a trouvé The Guardian.

Dans les cartables, des dosimètres

Quelques 14 000 enfants qui fréquentaient les écoles publiques élémentaires et secondaires dans la préfecture de Fukushima, avant le séisme et le tsunami du 11 mars et la crise nucléaire qui a suivi, ont changé depuis d’école.

Les élèves, qui ont repris l’école à Fukushima, ont reçu des dosimètres pour mesurer leur exposition aux radiations. Le dosimètre ne prévient de rien : c’est un instrument de mesure uniquement, qui permet de connaître le niveau d’exposition aux radiations. Les enfants s’en sont donc vu distribuer, pour leur premier jour d’école… De plus, les récréations à l’extérieur des bâtiments sont supprimées, en raison du risque de contamination. C’est donc à l’intérieur que les enfants doivent jouer. (voir sur ce sujet le reportage de TSR )
Greenpeace a demandé le report de la rentrée des classes : nous avons réalisé une série de mesures préoccupantes : dans des écoles à soixante kilomètres de la centrale, le niveau de radiations est jusqu’à 70 fois supérieur aux normes internationales. Les cours d’écoles avaient pourtant été nettoyées en grattant 20 centimètres de terre contaminée en surface. Aucun parent ne devrait se trouver devant le choix cornélien d’éviter à ses enfants d’être exposés à la radioactivité ou de leur assurer un accès aux études.

Au Japon, les associations de parents et les collectifs demandant l’évacuation des enfants sont de plus en plus nombreux. Les parents sont extrêmement inquiets de la situation. Cette vidéo est un témoignage de parents à Fukushima, qui racontent la vie des enfants en manches longues, masques et pantalon dans des salles de classes aux fenêtres fermées en plein été.

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Cliquez sur la langue pour avoir la liste des sous titres disponibles

Une pétition en ligne a été organisée par le collectif japonais « MCRF », pour demander l’évacuation des enfants et des femmes enceintes de tous les « points chauds »

Les agriculteurs désemparés

Cette catastrophe est aussi une catastrophe agricole

Le témoignage d’un éleveur près de la centrale de Fukushima. Après le séisme et le tsunami du 11 mars, Yoshizawa a continuer à soigner ses 300 vaches laitières sans eau ni électricité. Il pouvait entendre les explosions de l’usine de Fukushima Daiichi énergie nucléaire, à 14 km.

Aujourd’hui, 6 mois après l’accident du réacteur nucléaire, les agriculteurs de la région ont vu leur activité réduite à néant. Et pour cause, certains troupeaux de vaches de la région ont été contaminés et même si aujourd’hui, l’interdiction de vente du bétail a été levée, la suspicion des consommateurs demeure et la contamination aussi, sur nombre de produits agricoles …

Ainsi, la préfecture de Saitama a demandé aux producteurs de thé d’éviter les expéditions de thé fabriqué à partir de feuilles fraichement cueillies. Cette demande est intervenue mardi après que du césium radioactif au-delà des niveaux de sécurité du gouvernement a été détecté par le ministère de la Santé dans les produits de thé local.

Enfin, même si l’information reste à prendre au conditionnel, selon la chaîne de télévision qatarie Al-Jazeera, une quantité non négligeable des eaux usées évacuées de la centrale, des boues radioactives donc, serait transformées avant d’être revendues sous forme d’engrais à des agriculteurs japonais !!

Voilà le défi auquel Yoshihiko Noda, le nouveau chef du gouvernement doit faire face. Il doit protéger la santé des citoyens, leurs maisons et leurs emplois. Il doit leur rendre un quotidien acceptable.
Il lui incombera l’immense responsabilité de l’avenir énergétique de son pays. La Diète japonaise a fait le premier pas vers cette transition vendredi dernier en approuvant un projet de loi crucial et historique concernant les énergies renouvelables. La nouvelle loi donne au gouvernement japonais l’occasion de montrer à au monde ce qu’est une authentique révolution énergétique.

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 23:58

 

OGM | le 8 septembre 2011

OGM – CJUE : la clause de sauvegarde française illégale pour vice de forme !

La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a estimé que la clause de sauvegarde prise par la France en février 2008 pour suspendre la culture du maïs transgénique MON810 était illégale en raison d’un vice de procédure.
Cette décision est lourde de conséquences : elle rouvre la porte à la culture de maïs OGM en France. A l’origine de cet épisode juridique? Monsanto. En 2008, cette dernière avait saisi le Conseil d’Etat, qui avait à son tour saisi la CJUE.

 

Monsanto et ses complices habituels : l’Assemblée générale des producteurs de maïs (AGPM), le Syndicat des établissements de semences agréés pour les semences de maïs (SEPROMA) et plusieurs autres producteurs de semences tirent aujourd’hui profit d’un vice de forme ! Les industriels ne reculent devant aucune manœuvre pour sauver leur business.

Le gouvernement doit s’engager à prendre une nouvelle clause de sauvegarde

Maintenant que la CJUE a rendu son arrêt, l’affaire retourne devant le Conseil d’Etat français, qui devra annuler la décision prise en février 2008. Celui-ci peut mettre plusieurs mois à le faire mais quoi qu’il en soit, il devra tôt ou tard se conformer à la décision de la CJUE, comme le veut le droit européen.

Désormais, c’est au gouvernement de prendre ses responsabilités : s’il ne met pas en place une nouvelle clause de sauvegarde, le moratoire français sur la culture du maïs MON 810 sera bel et bien condamné et on risque de voir réapparaître les OGM dans nos champs dès le printemps prochain.

Le nécessaire respect du principe de précaution

La CJUE a déclaré la clause de sauvegarde française illégale en remettant notamment en cause le choix de la procédure mise en œuvre. Sur ce point, elle a estimé que la France s’était trompée de fondement juridique et qu’elle n’avait pas le droit d’adopter unilatéralement des mesures pour interdire la culture du MON 810.

Sur le fond, en février 2008, la clause de sauvegarde française avait été motivée par des « risques sérieux pour l’environnement » (dissémination, apparition de résistances sur les ravageurs cibles, effets sur la faune non cible) en application du principe de précaution. C’est donc un retour à la case départ…

Le principe de précaution est inscrit dans la Constitution française. En l’absence d’études suffisantes, il est évident qu’on ne doit pas planter des OGM. La France et les autres pays de l’Union européenne doivent donc enclencher des clauses de sauvegarde en se servant des fondements juridiques adaptés.

MàJ : le 8 septembre, OGM : NKM assure que la France prendra une « nouvelle clause de sauvegarde » si nécessaire sur LePoint.fr « Si la clause française était annulée pour des questions procédurales, nous prendrions une nouvelle clause de sauvegarde [...], car les questions environnementales, elles, demeurent sans réponse« , a indiqué la ministre dans un communiqué.
Ces déclarations se veulent rassurantes mais la vigilance des citoyens ne doit pas se relâcher, la nouvelle clause de sauvegarde doit voir le jour !

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 10:02

j'ai découvert un lien très intéressant pour les jardiniers.

http://www.mtaterre.fr/sites/default/files/files/Guide_jardiniers_amateurs.pdf


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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 21:00
Une réussite !

Vendredi 2 septembre 18h30,

les premiers visiteurs et jardiniers arrivent, c'est la première fois que les jardins partagés du Luchey organisent une fête en l'honneur de la tomate!

 

Une vingtaine de variétés de tomates toutes issues du jardin Bio du Luchey est présentée par nos jeunes jardiniers Antoine et Kevin.

 

Laurence a organisé un concours pour les enfants leur demandant de retrouver les tomates présentées dans le jardin.

 

Jardiniers et jardinières ont préparé quelques plats à base de tomate que nous avons partagés ensemble (40 personnes environs), des cakes, coulis, jus de tomates, Rougaille saucisses, tarte pommes et tomates (excellent!) etc.

 

Merci à ce jeunes couples producteurs Bio de nous avoir rejoint, quelques conseils de leur part pour nos jardiniers ont été donnés.

 

Merci aussi à nos voisins et passants pour leurs encouragements, leurs coups de main lors de l'installation et le rangement.

 

Merci aux personnes du centre social qui ont contribué aux décorations, à l'affichage, matériel, Merci à Thierry.

Merci au groupe du bureau des jardins, merci à Pascal pour avoir fleuri et planté abondemment la parcelle partagé, Merci à Joël pour ses conseils et sa Zen attitude, merci à notre Municipalité pour nous avoir permis de réaliser ce jardin.

Merci à nos politiques et nos photographes.

 

Hélas certains de nos jardinier(e)s sont encore en vacances et n'ont pas pu partager cette soirée merveilleuse de rencontres, d'échanges et de partages.

 

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à bientôt !

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 18:50

Pour la fête de la tomate venez nombreux en apportant une de vos recettes favorite nous y goutterons !!!

quelques bras seraient aussi les bienvenues à partir de 14h au jardin

merci à vous

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Présentation

  • : Le blog de jardin partagé du luchey
  • : Les jardins partagés sont de l'initiative du service de l'Agenda 21 de la ville de Mérignac et du conseil de quartier d'Arlac entourés par les arlacais.: 30 parcelles individuelles de 6 à 8m2 environ chacune, 1 parcelle collective pour enfants, adultes, et personnes à mobilité réduite de 400m2 environ. Une maison de jardin avec un abri,clôturé sur près de 1000m2. Des jardiniers pour vous conseiller et vous guider. La plupart des articles sont glanés sur le net pour répondre à nos abonnées
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